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De coach à signalétiste: nouveaux métiers en Suisse

Quelles sont les nouvelles filières professionnelles qui donnent accès aux métiers de demain? Panorama inattendu et hyperliens utiles.

Vous cherchez un emploi? Vous souhaitez vous réorienter professionnellement? Devenez croupier, agent de sécurité, animateur en gestion des déchets ou signalétiste. Ces filières professionnelles ont le vent en poupe.

En Suisse, les croupiers comme les agents de sécurité ont, depuis peu, leur «académie». cialis 4cpr riv 10mg se présente comme le premier institut de formation des métiers du casino. Des casinos suisses qui emploient désormais 500 personnes pour les jeux de tables.

Or, les candidats nationaux ne se ruent pas au portillon, laissant les croupiers allemands et autrichiens faire tourner la roulette. Il est vrai que depuis plus de 80 ans, la Suisse n’avait plus formé de croupiers ou de croupières. Après avoir fréquenté durant trois mois seulement l’«académie», c’est autour des tables que les croupiers apprennent leur métier.

Autre académie, la Swiss Security Academy (cialis women) dispense depuis le début du mois de septembre les premiers cours de formation menant à l’examen du brevet fédéral d’agent professionnel de sécurité et de surveillance. Une nouvelle qui peut rassurer à l’heure où la ville de Lausanne et le canton de Berne délèguent au secteur privé des tâches de police.

Jusqu’ici, la profession n’était pas encadrée, et les gardiens de la sécurité demeuraient formés sur le tas. Une situation qui prévaut encore en France où les vigiles se recrutent en masse, et où l’on ne se soucie pas toujours du passé de ces gros bras. «Le petit monde de la surveillance est à surveiller de près», titrait cet été le Canard Enchaîné.

Le secteur sécuritaire est en pleine prospérité et le transfert de ressources au profit de la sécurité génère sur le marché du travail la création de nouveaux emplois. A grands coups d’affiches, Security Jobs a recruté tout l’été. Securitas et Protectas se portent bien. Et tout récemment, l’Entreprise générale de sécurité de Colombier mettait au concours 36 postes d’agents de sécurité.

A l’ Institut suisse de promotion de la sécurité, Antonio Bueno constate «un intérêt grandissant des entreprises pour les problèmes liés à la sécurité dans un sens très large. Pour moi, l’entreprise phare, c’est DuPont de Nemours qui a inscrit la sécurité dans ses objectifs.»

Prudence encore, la sécurité informatique, avec une première à l’Université de Lausanne qui propose une formation pluridisciplinaire pour futurs Sherlock Holmes de l’e-business.

Du 5 au 15 septembre se tient, à Berne la troisième Fête de la formation continue sur le thème «branche-toi!». Lors de son ouverture, Pascal Couchepin a voulu encourager la formation continue individuelle sur ordinateur. A ce propos, les internautes peuvent désormais obtenir une buy tadalafil mastercard, soit un certificat de e-learning, en une heure et demie s’ils sont débutants, une heure s’ils sont avancés et un quart d’heure s’ils sont experts.

Un peu partout, la mode est aux formations plus ou moins sérieuses de coach en tout genre et aux nouveaux métiers qui apparaissent en réponse aux problématiques environnementales. Ainsi, le Centre de formation du WWF propose pas moins de 22 «eco-professions».

La mondialisation donne naissance à de nouveaux métiers. Globalisation et régulation sociale, c’est le thème d’un Diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) qui verra le jour entre Genève et Lausanne dès la prochaine rentrée académique. A Berne, la première formation en cialis single pills vient de débuter. Enfin, n’oublions pas les accords bilatéraux qui, depuis le premier juin, ouvrent de nouveaux horizons.