ddr 12 novembre 2003 Le renaissance inattendue de l’Allemagne de l’Est Le héros du film «Good Bye Lenin» n’aurait plus besoin de remuer ciel et terre pour trouver des produits de l’ancienne RDA: une vague d’ostalgie déferle en ce moment sur l’Allemagne et les a transformés en objets de culte. - Geneviève Grimm-Gobat
cinema 10 novembre 2003 Qu’est-ce que l’amour quand le désir a disparu C’est l’une des questions posées par «Les Sentiments», le nouveau film de Noémie Lvovsky. L’histoire de deux couples qui éclatent, avec une Nathalie Baye au sommet de sa forme. - Marie Rossinière
cinema 3 novembre 2003 Woody Allen obsédé par les armes à feu Dans «Anything else», le cinéaste de Manhattan joue au paranoïaque fasciné par l’autodéfense. Il rajeunit son casting et signe un bon film. Son trente-troisième. - Marie Rossinière
cinema 27 octobre 2003 «Ken Park», ou la résistance par le sexe Dans le film de Larry Clark, les scènes sexuelles sont crues, frontales et souvent belles, mais jamais gratuites. Elles révèlent l’état d’une civilisation. - Marie Rossinière
litterature 26 octobre 2003 Des prix déprimants Le Goncourt et le grand prix de l’Académie française ont été remis à deux journalistes critiques littéraires. Gérard Delaloye se désole de ce milieu parisien de l’édition qui se mord une fois de plus la queue. Et recommande d'autres lectures automnales. - Gérard Delaloye
cinema 21 octobre 2003 Pourquoi «Mystic River» méritait la Palme d’Or Clint Eastwood signe une tragédie complexe et opératique d’une immense noirceur. On est loin de la posture hollywoodienne qui consiste à dénoncer la violence en l’esthétisant. Un très grand film. - Marie Rossinière
cinema 12 octobre 2003 On ne regarde plus les films, on imagine leur fin C’est une mode hollywoodienne. On conçoit désormais les films pour ménager un coup de théâtre final. Illustration avec deux films à l'affiche, «Les Associés» de Ridley Scott et «Identity» de James Mangold. - Marie Rossinière
cinema 7 octobre 2003 «Les Invasions barbares», un film qui suinte l’amertume Le film de Denys Arcand divise les spectateurs. Il y a ceux qui le portent aux nues en vantant sa finesse d’observation. Et les autres, dont nous faisons partie, qui le trouvent pontifiant et casse-pieds. Explications. - Marie Rossinière