Tous les nouveaux phénomènes de mode relevés cette semaine: c’est l’hyper-revue de presse de Largeur.com.
Sponsoring de quartier
Une nouvelle forme de marketing apparaît aux Etats-Unis: l’association à un quartier pour viser sa clientèle cible. La compagnie aérienne à bas-prix Song s’est ainsi autoproclamée «sponsor officiel» d’un quartier branché de New York, le Meatpacking District.
Convaincue qu’il y a là une concentration unique de clients potentiels, Song veut séduire ceux qui aiment prendre l’avion sans pour autant se priver des soirées Martini Litchi, la boisson ultra trendy du moment.
Le logo de Song figure sur des cartes de boutiques et hôtels de ce quartier. Les barmen du Meatpacking District sont en outre invités à participer à un concours pour créer un cocktail Song.
Ce n’est sûrement que le début d’une nouvelle forme de «sponsoring de quartier». Quelle sera la société qui visera le Kreis 5 en premier?
Valorisme urbain
Les rues de certains districts new-yorkais deviennent de véritables musées d’art et d’artisanat. Les créateurs ne peuvent pas s’empêcher d’embellir ou de camoufler les objets indispensables qui bordent leur chemin.
Dans le Lower East Side, des toupies animées sont fixées à des panneaux de circulation, des hiboux en macramé couvrent des extincteurs et les bonshommes des feux pour passages piétons sont vêtus d’une tenue pop. Il s’agit en fait d’une nouvelle forme de vandalisme, qui valorise l’objet plutôt que de le détruire: le valorisme.
Chaussures futuristes
La marque G Series innove avec son nouveau modèle: la chaussure
hybride. Fruit d’une collaboration récente entre Cole Haan et Nike Lab, la ligne représente la collision de deux mondes: le sport et la mode.
Ces chaussures pour femmes et hommes à l’aspect plutôt futuriste se veulent aussi confortables et ergonomiques que des chaussures de gymnastique, et aussi stylées que des modèles de ville. Quelques exemples sont présentés ici.
Boîte à rêve
Pour les travailleurs stressés et les angoissés, une solution a été trouvée. La société japonaise Takara vient de créer une boîte à faire rêver et à filtrer les cauchemars. Il suffit de placer sur ce gadget une photo qui évoque de beaux souvenirs, d’y programmer un cycle de mélodies plaisantes, une ou deux phrases agréables, un parfum et de s’endormir.
Durant la nuit, la boîte à rêves, vendue pour environ 150 euros, transmet ses mantras relaxants programmés de manière à coïncider avec les cycles de sommeil. Et les réveils sont beaucoup plus doux.
