«Nous soupçonnons fortement l’Irak d’avoir amélioré son programme offensif d’armes biologiques en profitant de l’absence durant trois ans d’inspections de l’ONU.» Cette accusation coup de poing, c’est John Bolton, sous-secrétaire d’Etat américain, qui l’a portée le 19 novembre dernier à Genève lors de l’ouverture de la cinquième Conférence sur les armes biologiques.